Ari Mackenzie est un agent des Renseignements généraux français.

Sa mère, Anahid, arménienne, étant décédée alors qu'il n'était qu'un enfant, Ari a été élevé par son père, Jack, lieutenant de police, jusqu'à ce que ce dernier soit gravement blessé par balle lors d'une intervention et vive depuis dans une résidence spécialisée pour démence précoce.

Ari Mackenzie s'est alors engagé au sein de la Force de protection des Nations unies afin de participer à une mission de démilitarisation en Croatie, puis a intégré la Direction centrale des renseignements généraux (DCRG) où, découvert brillant analyste et féru d'ésotérisme, il est devenu commandant du "groupe sectes" des RG (section spécialisée dans le démantèlement des sectes et des groupes occultes).

Mais ses prises de position politique suite à un changement de gouvernement lui ont valu d'être privé des collaborateurs de son groupe et de se retrouver l'unique membre de sa section.

Les yeux bleus et les cheveux poivre et sel, toujours vêtu d'un jean, d'une chemise blanche et d'un long trench-coat noir, Ari Mackenzie est aujourd'hui un trentenaire célibataire et désabusé n'arrivant pas à s'engager dans une liaison amoureuse et ayant une addiction pour la cigarette et le single malt écossais. Vivant avec son chat Morrison dans un appartement parisien sans réel souci esthétique, au début de la rue de la Roquette, métro Bastille, il est aussi propriétaire d'une maison dans l'Hérault.

Allergique à la technologie moderne et lecteur compulsif, il est un homme de papier et de livres qui rechigne à se servir de l'informatique.


Les romans de Henri Loevenbruck où apparaît Ari Mackenzie sont les suivants :

  • Le Rasoir d'Ockham (2008)
  • Les Cathédrales du Vide (2009)
  • Le mystère Fulcanelli (2013)